La sainte Eucharistie est le troisième sacrement de l’Initiation Chrétienne ; mais avant d’exposer les grandes variétés sur ce sacrement, il est bon de survoler les points les plus importants de l’économie sacramentelle. En effet, c’est comme une régie de vie du temps de l’Eglise, durant lequel le Christ manifeste, rend présent et surtout communique son œuvre de salut de la liturgie de son Eglise. C’est pour cette raison que sont communiqués les fruits du mystère pascal du Christ, sa mort ainsi que sa résurrection. L’Eucharistie est le signe de l’unité, le repas pascal, le lien de la charité, pendant lequel on reçoit le Christ, et où l’âme est comblée de grâce et où est donnée de gage de la vie éternelle.
L’Eucharistie et la liturgie
Lors du sacrément de la très Sainte Eucharistie, les normes et le respect de la Liturgie ont une grande importance. A noter que la liturgie est le sommet auquel tend l’action de l’Eglise, et en même temps la source d’où découle toute sa vertu. Pendant la célébration liturgique, ministre ou fidèle fera totalement ce qui lui revient en vertu de la nature de la chose et des normes liturgiques. Cette parfaite participation à la messe est fortement recommandée pour que les fidèles, après la communion du prêtre, reçoivent le corps du Seigneur dans le même sacrifice. La liturgie de l’Eucharistie se déroule en respectant une structure fondamentale qui s’est conservée à travers les siècles jusqu’à nous. Une liturgie qui se déploie en deux grands moments ; la première partie c’est le rassemblement, la liturgie de la Parole, avec les lectures, l’homélie et la prière universelle ; la deuxième partie c’est la liturgie eucharistique, avec la présentation du pain et du vain et l’action de grâce conservatoire et la communion. Le père Stephane Gotoghian est un prêtre qui prend sa mission très à cœur, il ne s’est plus limité à ses paroissiens pour prêcher la bonne parole. À travers son blog, il rédige des articles sur l’évangile et l’enseignement dans l’Eglise.
Les autres normes à respecter
Le Saint-Sacrement doit être conservé dans un tabernacle placé dans une partie de l’Eglise, particulièrement insigne, noble, bien visible et surtout bien décorée. Ce tabernacle doit être dans un endroit tranquille, adapté à la prière. Quant aux prêtres et autres ministres sacrés, il n’est pas permis de célébrer la sainte messe sans revêtir les vêtements liturgiques ou de porter seulement l’étole sur la coule monastique ou sur l’habit commun religieux, ou encore sur un vêtement civil. Le vêtement propre au prêtre célébrant, pour la Messe et pour les autres actions sacrées en liaison immédiate avec la Messe est la chasuble. Pour plus d’information sur le sacré sacrement eucharistie, ainsi que pour En savoir plus sur Stephane Gotghian rendez-vous sur son blog.